Le cannabis au volant est-il interdit ? Sérieux la police en voit de toutes les couleurs ! Petite anecdote pour vous donner un avant-goût des perles récolter par ces derniers sur les routes de France…
Le policier : « Madame, vous savez pourquoi je vous arrête ? »
Elle : « Parce que je conduis trop bien j’imagine. C’est sympa de me féliciter ! Ca change ! »
Le policier: « Ne faites pas l’innocente : on vous a vu en train de fumer une substance illicite. »
Elle : « Vous voulez parler de ça ? » dit-elle en montrant un gros pétard.
Le policier : « Et ben voilà ! Elle nous dit vite la vérité la petite dame ! C’est bien de ne pas vouloir raconter des petites histoires dignes de paraître dans « Brèves de volant » d’Alexandre Despretz ! Bon, vous savez ce que vous encourez…  »
Elle : « Mais vous n’êtes pas au courant monsieur le gendarme : Peillon* veut dépénaliser le cannabis ! »
Le policier : « Et quand bien même. Il ne faut pas confondre dépénaliser et légaliser mademoiselle ! Quand on « dépénalise », l’usage de cannabis reste une infraction relevant du droit pénal. Pour l’heure, se sera un retrait de 6 points du permis de conduire, et au maximum 2 ans de prison et 4 500 € d’amende.  »
Elle : « Mais c’est Peillonnesque ! »
* Pour mémoire, l’homme politique, Vincent Peillon, est l’actuel ministre de l’éducation national dans le gouvernement Ayrault I et II.
Argh je ne comprends toujours pas ; si on dépénalise, j’ai bien compris que ça restait illégal, mais ça ne relève plus du droit pénal, si ?
Ce qui est indiqué dans l’article : « Quand on « dépénalise », l’usage de cannabis reste une infraction relevant du droit pénal » .
A vous les enjo ! biz
on ne fera pas carrière dans le droit ! ça c’est sûr 🙂 merci et à bientôt ***
« Dépénaliser » signifie littéralement renoncer à punir pénalement l’usage d’un produit ou du moins baisser le niveau de l’infraction pour le consommateur. Cela ne signifie pas que tout est autorisé. Comme pour l’alcool, l’ivresse n’est pas un délit, mais l’ivresse publique et l’alcool au volant restent réprimés.
En revanche, « légaliser » signifie donner un cadre légal à un produit ou une activité.
La dernière étape, la plus permissive, est la « libéralisation » qui consiste à autoriser la vente libre du cannabis. L’Etat se contente alors de vérifier les mesures d’hygiène et de conformité, comme pour n’importe quel produit, comme la viande ou le lait.
Heu, si on dépénalise, ça relève encore du droit pénal ?? Soit je suis blonde, soit il y a une coquille dans l’article !!
C’est vrai, bon jeu de mot Pierre, d’autant plus que je n’y aurais pas penser toute seule 🙂
Mdr! C’est quand même pas une histoire vraie! Si oui j’aurais bien aimer voir la gueule du flic! Et pas mal le jeu de mot de pierre!!
On veut le résultat de l’expérience ? Cela dit, on n’assure pas que ça fonctionne 🙂
Je la tente??
Allez, et puisque personne ne l’a encore faite:
« de toute façon, à la fin, c’est toujours nous qui peillon ».
OK, je sors…