Après quelques temps de silence autour de l’état de santé d’un des pilotes les plus mythiques de la F1, Michael Schumacher, les médecins auraient finalement décidé d’abandonner leurs tentatives de sortir le sportif du coma en raison de complications. Une nouvelle particulièrement triste pour le monde de la Formule 1, ses fans et sa famille, bien que l’on ait sentir le vent tourner lorsque le champion a été plongé dans le coma artificiel après sa chute de ski le 29 décembre.

Si le 30 janvier dernier le corps médical du CHU de Grenoble (Isère) avait lancé une phase de réveil, un mois plus tard aucune information officielle n’a encore été donnée sur l’état de santé du pilote Michael Schumacher. Jusqu’ici rien d’alarmant puisque il s’agit d’un processus passant par une diminution progressive des sédatifs pouvant prendre plusieurs semaines, si ce n’est plusieurs mois.

Mais depuis deux jours, il y aurait du nouveau concernant le septuple champion du monde de Formule 1. Et en effet selon le magazine allemand Focus, les médecins du CHU de Grenoble auraient abandonné la semaine dernière leurs efforts pour réveiller le sportif. Ces derniers ont fait plusieurs tentatives mais des complications dont la nature reste inconnue ne leur permettent pas de continuer le processus. La famille de Michael Schumacher n’a pas encore réagi à cette rumeur.

Les conditions de l’accident de Michael Schumacher

Alors que Michael Schumacher passait des vacances au ski avec son fils, il est victime le 20 décembre 2013  d’une chute violente sur la tête. Cet accident qui a eu lieu sur la station de Meribel, est pourtant intervenu alors que le champion de F1 avançait à faible vitesse.

La chute de Michael Schumacher a pourtant nécessité deux opérations chirurgicales en raison d’hémorragies cérébrales et un coma artificiel de longue durée. Si aujourd’hui la famille ne se prononce pas sur la rumeur concernant l’interruption de la phase de réveil de l’Allemand, la presse allemande affirme tout de même que Michael Schumacher souffrait d’une pneumonie. On ne sait plus si on peut oser encore espérer une fin heureuse, mais c’est au moins ce que nous souhaitons…